Sortie chants d’oiseaux à Collias
Compte rendu rédigé par Elisabeth Védère. – 13 participants.
En route vers le lieu de rendez-vous pour cette sixième matinée d’écoute des chants d’oiseaux, on est presque sûr de faire demi-tour en arrivant à Collias, car il pleut et il n’y aura personne, c’est sûr.
Et bien, un premier, puis un second, puis un troisième téméraire arrivent équipés de cirés, et finalement on est 13 sous les gouttes. Le temps de faire les présentations, d’acheter pour certain un pain au chocolat à la boulangerie, et le ciel a fini de pleurer. Je ne vois pas pourquoi il était triste, d’ailleurs.



Quelques vedettes du tour de chant.
Première affluence à la lunette pour voir un groupe de 50 Grosbec casse noyaux à la cime d’un bouquet d’arbres. On descend vers le Gardon et on démarre la sortie en remontant le cours de la rivière. A part deux pêcheurs, il n’y a personne au bord de l’eau. On est loin de la fréquentation estivale, mais les loueurs de kayaks ont déjà sortis leurs embarcations. La progression de notre groupe se fait au ralenti car il y a pas mal de petits oiseaux partout, ça chante, ça voltige d’un arbre à l’autre, ça vole dans le ciel.On joue à un jeu en vogue chez les ornithologues, poser de drôles de questions du genre :
Qui tape à la machine ?
Qui compte ses écus ?
Qui est « très – très » facile à identifier ?
Qui frappe deux grosses billes en verre l’une contre l’autre ?Réponses (dans le désordre) :
– La fauvette à tête noire
– Le Pouillot véloce
– Le Rouge gorge familier
– La fauvette mélanocéphaleUn proverbe dit « Une hirondelle ne fait pas le printemps », mais j’espère que plusieurs si, car nous en voyons de nombreuses (de fenêtre, rustique, et de rocher), ainsi que des martinets à ventre blanc. Alors pour les prochaines balades n’oubliez pas la crème solaire ! Le ciel reste couvert, mais la température est agréable et il n’y a pas de vent. C’est certainement un temps favorable puisque cette matinée nous permet d’observer 47 espèces.Et pour garder la forme dans votre association préférée on fait même des pompes, enfin …… une pompe, enfin…… ce sont six Milans noirs en migration qui « pompent ». Un terme qui n’a rien de la pratique physique de nous autres, pauvres humains, mais une méthode employée par les rapaces, lors de la migration, qui consiste à tourner ensemble, en cercle, en montant dans le ciel à la recherche d’ascendances d’air chaud afin de pouvoir progresser en se laissant porter en vol plané. Cette méthode leur permet de ne pas dépenser trop d’énergie.Arrivé à la hauteur d’une falaise abrupte, une halte plus longue que d’ordinaire est mise à profit pour chercher sur le rocher dénudé le « grand papillon » gris et rouge carmin, ainsi que l’emblème de l’association. On continue la série question/réponses, mais sans les réponses cette fois. Un indice : il s’agit de deux oiseaux rupestre.
Qui tape à la machine ?
Qui compte ses écus ?
Qui est « très – très » facile à identifier ?
Qui frappe deux grosses billes en verre l’une contre l’autre ?Réponses (dans le désordre) :
– La fauvette à tête noire
– Le Pouillot véloce
– Le Rouge gorge familier
– La fauvette mélanocéphaleUn proverbe dit « Une hirondelle ne fait pas le printemps », mais j’espère que plusieurs si, car nous en voyons de nombreuses (de fenêtre, rustique, et de rocher), ainsi que des martinets à ventre blanc. Alors pour les prochaines balades n’oubliez pas la crème solaire ! Le ciel reste couvert, mais la température est agréable et il n’y a pas de vent. C’est certainement un temps favorable puisque cette matinée nous permet d’observer 47 espèces.Et pour garder la forme dans votre association préférée on fait même des pompes, enfin …… une pompe, enfin…… ce sont six Milans noirs en migration qui « pompent ». Un terme qui n’a rien de la pratique physique de nous autres, pauvres humains, mais une méthode employée par les rapaces, lors de la migration, qui consiste à tourner ensemble, en cercle, en montant dans le ciel à la recherche d’ascendances d’air chaud afin de pouvoir progresser en se laissant porter en vol plané. Cette méthode leur permet de ne pas dépenser trop d’énergie.Arrivé à la hauteur d’une falaise abrupte, une halte plus longue que d’ordinaire est mise à profit pour chercher sur le rocher dénudé le « grand papillon » gris et rouge carmin, ainsi que l’emblème de l’association. On continue la série question/réponses, mais sans les réponses cette fois. Un indice : il s’agit de deux oiseaux rupestre.
Bon c’est pas tout çà mais je dois rentrer à la maison pour vous écrire le compte-rendu de ce sixième épisode de notre saga chants d’oiseaux. Bises à tous, et à bientôt.
Oiseaux contactés (vus ou entendus, liste alphabétique) :
Aigrette garzette (6)
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Merle noir (2)
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Plantes : |
Globulaire arbrisseau
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Narcisse douteux
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